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Pages supprimées... nouveaux dommages...



 Les articles Jérôme Reybaud et Ciné Zine Zone au cimetière wikipédien ! Les artisans de la suppression ont obtenu gain de cause avec leur cri de ralliement "Absence de sources centrées"...

Grand bien leur fasse si grâce à cette victoire ils peuvent dormir du sommeil des justes. Pour ma part, c'est une déception supplémentaire qu'il me faut bien encaisser. Jérôme Reybaud méritait pourtant, selon moi, de figurer dans l'encyclopédie, en dépit d'une carrière peu développée : réalisateur d'un long métrage - Jours de France (2017) - dont les qualités n'ont pas été ignorées par la critique, l'intéressé a acquis une notoriété attestée par les réactions enregistrées lors de la sortie du film. Quand on parle d'une oeuvre, on parle en même temps de son auteur. Point de vue bien sûr non partagé par celles et ceux qui, au fil des "débats d'admissibilité", s'emploient à effectuer le nettoyage de WP.

Pour Ciné Zine Zone - fanzine né dans les années 70 de la passion de Pierre Charles et mort après 25 ans d'existence -, c'est l'importance insuffisante - en volume - des références qui a servi les partisans de la suppression. Je ne suis pas à l'origine de cet article, contrairement à celui qui était consacré à Jérôme Reybaud. Il m'a semblé néanmoins qu'il convenait de le défendre. Le phénomène des fanzines fait partie de l'histoire des publications sur le cinéma, le "cinéma-bis" en particulier.

Les trois contributeurs qui ont entériné la suppression n'ont pas été sensibles à cet aspect...


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Soudain, l'été dernier... Marien Defalvard (III)

Une page de discussion... à tiroirs. C'est bien ce à quoi ressemble la longue liste d'interventions enregistrées sur la PDD de l'article à partir du 22 août 2011, le lendemain de la création de l'article. La discussion s'ouvre sur le caractère publicitaire du "ton" de ma rédaction. N'ayant pas été guidé par le souci de promouvoir "Du temps qu'on existait", cette façon d'engager le débat me prend alors de court. A vrai dire, je ne vois pas en quoi mon ton relève d'une démarche publicitaire ! Je m'efforce donc de répondre au message en question. D'où les observations suivantes : * L'ébauche d'article concerne l'auteur de l'ouvrage, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il suscite de nombreuses interventions dans la presse, notamment de la part de critiques littéraires qui ne sont pas forcément tous des relais des éditions Grasset. Le phénomène m'a semblé assez exceptionnel... ( Hector H (

Martine Fougère, la gloire et l'oubli

La gloire de cette actrice n'aura duré que le temps de la diffusion de l'unique film auquel elle a participé. C'était Une étoile au soleil , en 1943. Des historiens du cinéma - Philippe d'Hugues et Jacques Siclier - en parlent brièvement pour noter sa disparition soudaine et s'interroger sur les motifs d'une telle inexistence médiatique. Même Google est avare d'informations à son sujet. A l'exception d'une photo extraite d' Une étoile au soleil .  J'en déduis aisément que j'ai pris un risque en créant l'article ! Immédiatement, "comme de bien entendu", un bandeau "Admissibilité à vérifier" est venu orner la page... Faut-il donc que Martine Fougère s'échappe une fois pour toutes de nos fragiles et égoïstes mémoires ?

Marien Defalvard le maudit ?

Cinq ans après son entrée tonitruante sur la scène littéraire et médiatique, Marien Defalvard est à nouveau au cœur d’un débat sur Wikipédia. L’auteur de « Du temps qu’on existait » paraissait jusqu'à cette année perdu pour les lettres au profit d'une rubrique des faits divers toujours aussi minutieusement exploités par la presse régionale, orléanaise en l’occurrence. Le mention de la condamnation avec sursis infligée à l’intéressé à la suite d’un pénible incident survenu dans le cadre familial a relancé une discussion qui se poursuit actuellement. Or, dans le même temps, Marien Defalvard a publié un ouvrage de poésie, « Narthex », pour l’instant moins commenté par la critique que le roman primé deux fois en 2011. La discussion à laquelle je fais allusion porte sur l'organisation de la mise en ligne des critiques positives et négatives publiées à propos de ce livre maintes fois chroniqué avant même sa sortie en librairie à la fin de l'été 2011. A l'époque,