Accéder au contenu principal

Pas de trêve de Noël sur le bistro !

 La paix wikipédienne n'existe pas. Au moins les conflits qui accompagnent l'élaboration de l'encyclopédie ne font-ils ni morts ni blessés. À l'exception des blessures subies par l'amour-propre ! Il faut croire que ce qu'on nomme "travail collaboratif" implique le risque d'affrontements virtuels qu'au demeurant certains aiment susciter pour des motifs dont la futilité est parfois bien réelle.


Le Bistro de ce 25 décembre 2022 en témoigne. Les cordialités ne paraissent pas souhaitées. Après une entrée intitulée "Joyeux Noël" composée de messages dont l'originalité est à la hauteur des voeux traditionnels les plus insipides, une discussion à propos de Wikidata dérape rapidement. "Un contradicteur m'accuse d'avoir supprimé l'interwiki anglophone pour cacher qu'il y a eu fusion. J'estime que cette accusation relève du procès d'intention vu qu'elle repose sur aucune preuve et seulement sur une interprétation de mon comportement", écrit un contributeur à 3 h 02. 

 

Dès 3 h 41, il s'attire une réponse peu chaleureuse pour une nuit de Noël : "Comme je l'ai indiqué en RA, je n'ai pas trouvé d'actions de maintenance similaire dans tes contributions passées... ... Je sais pas si la section d'hier me concernait, si c'est le cas, deux jours de suite, bon ça commencerait à faire (surtout qu'une des réponses fallait son pesant de cacahuète)... ... *soupir* Perso je commence à perdre un peu beaucoup patience, entre l'insistance sur la pdd de l'article sur le fonds du sujet, l'insistance en RA, l'insistance ici." Et le faux dialogue se poursuit ; il s'arrête provisoirement à 5 h 37...


Une contributrice note que l'échange n'a rien à voir avec Noël. Un autre intervenant, plus direct, note seulement : "Cette section n'a rien à faire sur le bistro." Ce qui n'est pas faux, dirait un personnage de Kaamelott...

Posts les plus consultés de ce blog

Soudain, l'été dernier... Marien Defalvard (III)

Une page de discussion... à tiroirs. C'est bien ce à quoi ressemble la longue liste d'interventions enregistrées sur la PDD de l'article à partir du 22 août 2011, le lendemain de la création de l'article. La discussion s'ouvre sur le caractère publicitaire du "ton" de ma rédaction. N'ayant pas été guidé par le souci de promouvoir "Du temps qu'on existait", cette façon d'engager le débat me prend alors de court. A vrai dire, je ne vois pas en quoi mon ton relève d'une démarche publicitaire ! Je m'efforce donc de répondre au message en question. D'où les observations suivantes : * L'ébauche d'article concerne l'auteur de l'ouvrage, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il suscite de nombreuses interventions dans la presse, notamment de la part de critiques littéraires qui ne sont pas forcément tous des relais des éditions Grasset. Le phénomène m'a semblé assez exceptionnel... ( Hector H (

Martine Fougère, la gloire et l'oubli

La gloire de cette actrice n'aura duré que le temps de la diffusion de l'unique film auquel elle a participé. C'était Une étoile au soleil , en 1943. Des historiens du cinéma - Philippe d'Hugues et Jacques Siclier - en parlent brièvement pour noter sa disparition soudaine et s'interroger sur les motifs d'une telle inexistence médiatique. Même Google est avare d'informations à son sujet. A l'exception d'une photo extraite d' Une étoile au soleil .  J'en déduis aisément que j'ai pris un risque en créant l'article ! Immédiatement, "comme de bien entendu", un bandeau "Admissibilité à vérifier" est venu orner la page... Faut-il donc que Martine Fougère s'échappe une fois pour toutes de nos fragiles et égoïstes mémoires ?

Marien Defalvard le maudit ?

Cinq ans après son entrée tonitruante sur la scène littéraire et médiatique, Marien Defalvard est à nouveau au cœur d’un débat sur Wikipédia. L’auteur de « Du temps qu’on existait » paraissait jusqu'à cette année perdu pour les lettres au profit d'une rubrique des faits divers toujours aussi minutieusement exploités par la presse régionale, orléanaise en l’occurrence. Le mention de la condamnation avec sursis infligée à l’intéressé à la suite d’un pénible incident survenu dans le cadre familial a relancé une discussion qui se poursuit actuellement. Or, dans le même temps, Marien Defalvard a publié un ouvrage de poésie, « Narthex », pour l’instant moins commenté par la critique que le roman primé deux fois en 2011. La discussion à laquelle je fais allusion porte sur l'organisation de la mise en ligne des critiques positives et négatives publiées à propos de ce livre maintes fois chroniqué avant même sa sortie en librairie à la fin de l'été 2011. A l'époque,