Accéder au contenu principal

Mise en scène !

Sans doute veut-on nous faire croire à un coup de théâtre. Le bistro du 24 novembre comporte en effet une annonce intéressant le compte utilisateur "Celette". Le message - on devrait écrire "communiqué" ! - signé par ce pseudo est consacré à l'histoire de ce dernier, né en 2008. L'utilisatrice supposée n'existe pas, nous raconte-t-on avec force détails : le compte est la "propriété" de cinq personnes. Et le scénario s'allonge, insistant sur cette aventure dont on sent qu'elle constitue une fiction de plus.

Pour ma part, je suppose qu'il s'agit d'une manoeuvre de diversion destinée à masquer ce qui s'apparente, si on accepte le discours, à une opération d'entrisme prouvée par la volonté exprimée à deux reprises par l'utilisatrice en cause de bénéficier de l'accès aux outils mis à la disposition des administrateurs. Le vote communautaire se révéla négatif pour le compte en question. Mais la démarche constitue une action inacceptable. Le statut d'administrateur concerne une personne, pas un groupe d'individus dont on ne sait trop ce qu'ils auraient fait des moyens techniques attachés à ce statut. En fait, cette situation rend perplexe à l'égard de la gestion de l'encyclopédie.

La perplexité ne semble pas en revanche menacer le raisonnement de divers contributeurs qui "passent l'éponge" allègrement sur la mise en scène orchestrée dans une total obscurité par le compte au nom sonnant agréablement aux oreilles des gogos. Le compte aurait enrichi l'encyclopédie en dépit de son jeu trouble. Mais qui nous dit que tout cela ne cache pas l'action d'une officine et de son personnel visant à contrôler la formation du contenu de l'encyclopédie ? Au point où cette histoire nous entraîne, aucune hypothèse ne devient farfelue !

Je reviens à ma question, fondée sur le seul fait dont la réalité est attestée : pourquoi avoir sollicité deux fois (et en vain, heureusement) le statut d'administrateur ? Bien sûr, on ne répondra pas à cette interrogation légitime de la part d'un wikipédien de base auquel on ne viendra pas reprocher, je l'espère, d'être influencé par une quelconque théorie du complot !

Posts les plus consultés de ce blog

Soudain, l'été dernier... Marien Defalvard (III)

Une page de discussion... à tiroirs. C'est bien ce à quoi ressemble la longue liste d'interventions enregistrées sur la PDD de l'article à partir du 22 août 2011, le lendemain de la création de l'article. La discussion s'ouvre sur le caractère publicitaire du "ton" de ma rédaction. N'ayant pas été guidé par le souci de promouvoir "Du temps qu'on existait", cette façon d'engager le débat me prend alors de court. A vrai dire, je ne vois pas en quoi mon ton relève d'une démarche publicitaire ! Je m'efforce donc de répondre au message en question. D'où les observations suivantes : * L'ébauche d'article concerne l'auteur de l'ouvrage, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il suscite de nombreuses interventions dans la presse, notamment de la part de critiques littéraires qui ne sont pas forcément tous des relais des éditions Grasset. Le phénomène m'a semblé assez exceptionnel... ( Hector H (

Martine Fougère, la gloire et l'oubli

La gloire de cette actrice n'aura duré que le temps de la diffusion de l'unique film auquel elle a participé. C'était Une étoile au soleil , en 1943. Des historiens du cinéma - Philippe d'Hugues et Jacques Siclier - en parlent brièvement pour noter sa disparition soudaine et s'interroger sur les motifs d'une telle inexistence médiatique. Même Google est avare d'informations à son sujet. A l'exception d'une photo extraite d' Une étoile au soleil .  J'en déduis aisément que j'ai pris un risque en créant l'article ! Immédiatement, "comme de bien entendu", un bandeau "Admissibilité à vérifier" est venu orner la page... Faut-il donc que Martine Fougère s'échappe une fois pour toutes de nos fragiles et égoïstes mémoires ?

Marien Defalvard le maudit ?

Cinq ans après son entrée tonitruante sur la scène littéraire et médiatique, Marien Defalvard est à nouveau au cœur d’un débat sur Wikipédia. L’auteur de « Du temps qu’on existait » paraissait jusqu'à cette année perdu pour les lettres au profit d'une rubrique des faits divers toujours aussi minutieusement exploités par la presse régionale, orléanaise en l’occurrence. Le mention de la condamnation avec sursis infligée à l’intéressé à la suite d’un pénible incident survenu dans le cadre familial a relancé une discussion qui se poursuit actuellement. Or, dans le même temps, Marien Defalvard a publié un ouvrage de poésie, « Narthex », pour l’instant moins commenté par la critique que le roman primé deux fois en 2011. La discussion à laquelle je fais allusion porte sur l'organisation de la mise en ligne des critiques positives et négatives publiées à propos de ce livre maintes fois chroniqué avant même sa sortie en librairie à la fin de l'été 2011. A l'époque,