Je n'en étais pas sûr, mais une absence de ligne téléphonique pendant une semaine - vive l'aménagement du territoire ! - m'a permis de constater qu'il est possible de s'habituer à ne pas fréquenter WP. Sans doute une sensation de frustration se manifeste dans un premier temps. Impossible de regarder la liste de suivi, de s'amuser à lire les propos du bistro, de rédiger un (court) article - de préférence sur un film des années 30 à 60 - ou encore de parcourir les pages de l'encyclopédie à la recherche de l'imprévu... Quelques jours plus tard, même si l'on y pense de temps à autre, WP devient un objet à classer parmi les souvenirs. Et l'impossibilité de se connecter au réseau se révèle alors gênante pour de nombreuses autres raisons !
Une page de discussion... à tiroirs. C'est bien ce à quoi ressemble la longue liste d'interventions enregistrées sur la PDD de l'article à partir du 22 août 2011, le lendemain de la création de l'article. La discussion s'ouvre sur le caractère publicitaire du "ton" de ma rédaction. N'ayant pas été guidé par le souci de promouvoir "Du temps qu'on existait", cette façon d'engager le débat me prend alors de court. A vrai dire, je ne vois pas en quoi mon ton relève d'une démarche publicitaire ! Je m'efforce donc de répondre au message en question. D'où les observations suivantes : * L'ébauche d'article concerne l'auteur de l'ouvrage, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il suscite de nombreuses interventions dans la presse, notamment de la part de critiques littéraires qui ne sont pas forcément tous des relais des éditions Grasset. Le phénomène m'a semblé assez exceptionnel... ( Hector H (