L'activité sur WP n'a rien - ou si peu ! - d'un travail solitaire. Je le sais, mais je dois constamment me dire qu'il faut s'habituer à cette réalité. Si on ne l'accepte pas, il reste une seule solution, sous réserve qu'elle soit définitive : la fuite vers d'autres lieux d'intervention. Parfois on est tenté de s'y abandonner, tant il arrive qu'on se sente peu concerné par ce qui ressemble à l'obligation de se soumettre à des règles dont il n'est pas certain qu'elles reposent sur un vrai processus démocratique. Et puis on se résigne.
Ne plus faire attention aux propos provocateurs sans doute étudiés au sein de groupes organisés, aux leçons de savoir-faire wikipédien - payés à l'heure de bla-bla ou à la ligne ? -, à la dictature des préposés aux recommandations qui voudraient transformer ces dernières en règles éternelles selon leur propre conception du contenu de l'encyclopédie. Ne plus s'intéresser à des articles, qu'on estime pourtant intéressants, placés sous la surveillance des adorateurs du big brother intellectuel. Ne plus lire les faux échanges du Bistro, nouvelle complainte des mal aimés...
Quel avenir !
Ne plus faire attention aux propos provocateurs sans doute étudiés au sein de groupes organisés, aux leçons de savoir-faire wikipédien - payés à l'heure de bla-bla ou à la ligne ? -, à la dictature des préposés aux recommandations qui voudraient transformer ces dernières en règles éternelles selon leur propre conception du contenu de l'encyclopédie. Ne plus s'intéresser à des articles, qu'on estime pourtant intéressants, placés sous la surveillance des adorateurs du big brother intellectuel. Ne plus lire les faux échanges du Bistro, nouvelle complainte des mal aimés...
Quel avenir !