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La (con)quête du statut d'administrateur

La procédure visant à élire un nouvel administrateur dont je tairai le pseudo et que chacun reconnaîtra s'achève aujourd'hui 18 octobre. Je me suis interrogé, dans le message précédent, sur ce qui pouvait, d'une façon générale, motiver la candidature à cette fonction. Le sujet peut paraître sans grand intérêt, mais je suis un naïf militant : donc je me pose les questions qui ont parfois un arrière-goût de gentille provocation. Après tout, quand il existe un risque de plébiscite sur WP ou ailleurs, il faut bien - pour la bonne santé de ce qui ressemble à la démocratie -agiter la faucille ou le marteau !

Parmi les quelques votes "contre" la candidature que j'évoque, je relève cette observation : "... je ne comprends pas l'intérêt de lancer de nouvelles candidatures alors qu'il y a déjà plein d'administrateurs qui n'ont pas besoin d'utiliser leurs outils". La remarque n'est pas dénuée de pertinence. Un autre contributeur (opposant) note quant à lui la "forte notoriété" de l'impétrant. La notoriété, ça se fabrique... et ça s'entretient, y compris avec des blogs dont l'animateur ne manque pas une occasion de les citer à la faveur de ses (fréquentes) interventions sur le bistro (un lieu qui a ses fidèles causeurs). Et désormais avec le statut d'administrateur ? Si cette fonction est mentionnée sur les blogs en question, alors je pourrai me dire que j'avais raison de m'interroger...

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Soudain, l'été dernier... Marien Defalvard (III)

Une page de discussion... à tiroirs. C'est bien ce à quoi ressemble la longue liste d'interventions enregistrées sur la PDD de l'article à partir du 22 août 2011, le lendemain de la création de l'article. La discussion s'ouvre sur le caractère publicitaire du "ton" de ma rédaction. N'ayant pas été guidé par le souci de promouvoir "Du temps qu'on existait", cette façon d'engager le débat me prend alors de court. A vrai dire, je ne vois pas en quoi mon ton relève d'une démarche publicitaire ! Je m'efforce donc de répondre au message en question. D'où les observations suivantes : * L'ébauche d'article concerne l'auteur de l'ouvrage, dont le moins qu'on puisse dire est qu'il suscite de nombreuses interventions dans la presse, notamment de la part de critiques littéraires qui ne sont pas forcément tous des relais des éditions Grasset. Le phénomène m'a semblé assez exceptionnel... ( Hector H (

Martine Fougère, la gloire et l'oubli

La gloire de cette actrice n'aura duré que le temps de la diffusion de l'unique film auquel elle a participé. C'était Une étoile au soleil , en 1943. Des historiens du cinéma - Philippe d'Hugues et Jacques Siclier - en parlent brièvement pour noter sa disparition soudaine et s'interroger sur les motifs d'une telle inexistence médiatique. Même Google est avare d'informations à son sujet. A l'exception d'une photo extraite d' Une étoile au soleil .  J'en déduis aisément que j'ai pris un risque en créant l'article ! Immédiatement, "comme de bien entendu", un bandeau "Admissibilité à vérifier" est venu orner la page... Faut-il donc que Martine Fougère s'échappe une fois pour toutes de nos fragiles et égoïstes mémoires ?

Marien Defalvard le maudit ?

Cinq ans après son entrée tonitruante sur la scène littéraire et médiatique, Marien Defalvard est à nouveau au cœur d’un débat sur Wikipédia. L’auteur de « Du temps qu’on existait » paraissait jusqu'à cette année perdu pour les lettres au profit d'une rubrique des faits divers toujours aussi minutieusement exploités par la presse régionale, orléanaise en l’occurrence. Le mention de la condamnation avec sursis infligée à l’intéressé à la suite d’un pénible incident survenu dans le cadre familial a relancé une discussion qui se poursuit actuellement. Or, dans le même temps, Marien Defalvard a publié un ouvrage de poésie, « Narthex », pour l’instant moins commenté par la critique que le roman primé deux fois en 2011. La discussion à laquelle je fais allusion porte sur l'organisation de la mise en ligne des critiques positives et négatives publiées à propos de ce livre maintes fois chroniqué avant même sa sortie en librairie à la fin de l'été 2011. A l'époque,