Wikipédia et le vandalisme sont condamnés à une cohabitation à laquelle seule une dictature pourrait mettre un terme. Les intrusions des vandales masquent certainement des attitudes et des motivations bien différentes. Le vandale le plus excusable, à mon avis, est sans doute le collégien qui, le mercredi, s'emploie à torturer une encyclopédie dont il sait par ailleurs, en cas de besoin scolaire, utiliser les ressources. En revanche, le vandale exhibant dans sa vraie vie sa façade d'individu "normal" - voire prétendument bien en vue dans la société locale ! - m'exaspère. Sans doute est-ce à un personnage de ce type que j'ai été confronté hier à propos d'attaques sur la page "Mazamet"...
Le contributeur-saboteur en question a tenté à plusieurs reprises d'imposer son humour sur l'article dédié à la ville tarnaise : substitution du nom d'un sportif local à celui du maire en exercice, médiocre simulacre d'information sur le taux d'alphabétisation de la population locale ont constitué, entre autres interventions, l'apport de ces adresses IP (dont l'une correspond à une entreprise de l'agglomération) peu soucieuses des mises en garde. Comble du culot, il m'a été signifié que je n'étais pas sensible au second degré ! D'où mon message destiné à l'IP concernée :
* "Merci de cesser votre jeu concernant l'article sur Mazamet. Pour ce qui concerne le second degré, voir un autre moyen de communication..." Hector H (d) 22 mai 2012 à 14:39 (CEST)
Bien sûr, je suis sans la moindre illusion sur l'efficacité de ce message, mais l'existence d'une réaction de la part d'un contributeur honnête représente un élément de la lutte contre le vandalisme qui se cherche des excuses. Au moins le collégien auquel je fais allusion plus haut agit-il conscient de sa mauvaise action !
Quoi qu'il en soit, le nombre de consultations de l'article a plus que doublé hier par rapport à la journée précédente : le vandale a dû se charger de la publicité de son exploit !
Le contributeur-saboteur en question a tenté à plusieurs reprises d'imposer son humour sur l'article dédié à la ville tarnaise : substitution du nom d'un sportif local à celui du maire en exercice, médiocre simulacre d'information sur le taux d'alphabétisation de la population locale ont constitué, entre autres interventions, l'apport de ces adresses IP (dont l'une correspond à une entreprise de l'agglomération) peu soucieuses des mises en garde. Comble du culot, il m'a été signifié que je n'étais pas sensible au second degré ! D'où mon message destiné à l'IP concernée :
* "Merci de cesser votre jeu concernant l'article sur Mazamet. Pour ce qui concerne le second degré, voir un autre moyen de communication..." Hector H (d) 22 mai 2012 à 14:39 (CEST)
Bien sûr, je suis sans la moindre illusion sur l'efficacité de ce message, mais l'existence d'une réaction de la part d'un contributeur honnête représente un élément de la lutte contre le vandalisme qui se cherche des excuses. Au moins le collégien auquel je fais allusion plus haut agit-il conscient de sa mauvaise action !
Quoi qu'il en soit, le nombre de consultations de l'article a plus que doublé hier par rapport à la journée précédente : le vandale a dû se charger de la publicité de son exploit !